Le bazar, le bastringue, le boui-boui,
Le tohu-bohu, le tintamare.
On y entre tête basse.
Le seuil franchi c'est le désastre durant la tempête.
Au réveil parfois cette porte reste entrouverte
Et tout est envahi.
Le rêve est un puit ouvert sur les abysses
On y descend dans un panier lové comme un escargot dans sa coquille.
La lumière est vert-diaphane
Les créatures opaques et archaïques.
Le
rêve cet escalier qui conduit au sommeil
Est
une échelle que l’on grimpe en soufflant
En
haut il y a la porte-fenêtre
Qui
donne sur le puit.
Sinon, ça va ?
RépondreSupprimerJe plaisante, c'est très bien comme d'habitude,
Baci
Alexandre