J’ai cru qu’on s’en sortirait mieux
Qu’on aurait du répit
Pour retailler nos
branches, élaguer nos épis
Et offrir la
grand-voile aux vents mystérieux.
Des chants s’élèvent
Je ne les contrôle pas
Ils passent la cime
des arbres
Voyagent avec les
aigles
Et rampent sous les
nuages.
Mais bientôt ils
retombent
Sur des gens ahuris
Qui pensent avec leurs
pieds
Songent avec leurs
oreilles.
Pourquoi les
suivre ?
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