Au cœur des parcelles d’univers
Bien tenus au corps
Par de justes lanières
Nous
respirons par tous nos pores
L’espace
et ses revers.
De tristes présages au loin
Annoncent un profond labourage
Des
cohortes de gens en nage
Finiront
couchés abandonnés sans soin.
Pour
ne pas perdre tout courage
Il
faut suivre son ombre
Partout
où elle s’engage
Sous
les fragments les débris les décombres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire