Les
portes se sont ouvertes
Sur
des chemins tordus
Flanqués
de profonds caniveaux.
Dans
les rigoles de vive eau
Voguaient
les masques
Bouche
ouverte face au vent
On
pouvait entendre leur murmure.
Ils
parlaient des vieillards
Qui
habitaient les arbres
Aux
branches multicolores
Qui
festoyaient qui festoyaient.
Ils
racontaient les jours
Où
les fleurs sont tombées
Où
ils ne se sont pas plaints.
Quand
les masques ont rompu le silence
Ils
ont gravé les mots
Qui
comptent
Dans
des esprits fourchus.
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