A terre les amers sont des anneaux rompus
Ils ne guident plus personne.
On s’est élevé.
Il est long le chemin qui mène des ris aux
lames.
Les embruns nous atteignent à peine
Mais le vacarme des flots désoriente la pensée.
Les rêves s’amoncellent, les souvenirs
s’entassent
Il est long le chemin.
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