La pensée réfléchie ne s’encombre pas d’épines
Quand les vifs s’écartent ils sombrent dans l’oubli
Et leurs faces s’éparpillent.
Un
penseur égaré sur la queue d’une baleine
Peut
prétendre au repos
S’il
sait !
Nous
pensions vivre entourés de Madeleines
Mais
elles nous ont quitté
Elles
sont loin du rivage
Leurs
habits dévastés par les vagues
Nous laissent désemparés
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