porte

porte
porte

vendredi 12 août 2011

Le papou passe éberlué
Auprès d'un corps déjeté, désemparé.
L'enfant-phare claironne
Et le tour est joué
Et le tout est rejoué.


Les corps-hauts ramifiés, momifiés
frisent.
Ils brisent la brise qui s'épuise.
Ils y puisent le parfum solitaire
Ils voudraient se recueillir sur la tombe

Ignorée du poète assassiné.
 
 
Il papou passa sbalordito
Vicino ad un corpo storto, smantellato.
Il bambino-faro suona la tromba
Ed il giro è giocato
I corpo-alti ramificati, mummificati
arricciano.
Rompono la brezza che si esaurisce.
Attingono il profumo solitario
Vorrebbero raccogliersi sulla tomba
Ignorata del poeta assassinato.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire